Je tiens à remercier mes fidèles lecteurs pour leurs notes et leurs messages personnels qui me font chaud au coeur.
Ces encouragements sont importants car ils m'incitent à continuer.
Je reprécise qu'il n'y aura pas systématiquement de scènes de sexe dans mes épisodes car ils s'incluent dans un roman. Et je pense que la mise en contexte est presque aussi importante!
Amis lecteurs, bonne lecture.
Daoud avait cette façon impérieuse et instinctive de me prendre, comme si chaque instant risquait d'être le dernier, comme si la nuit ne suffisait jamais. Inépuisables, ses mains fiévreuses, ses lèvres avides, son souffle brûlant contre ma peau, son sexe me remplissant de son foutre généreux au plus profond de moi, tout en lui était un appel au vertige, une danse où le désir surpassait toute raison.
Lorsque je m'extirpai enfin de ses bras, rassasié mais encore étourdi, le soleil perçait déjà timidement à travers les volets. Après un petit déjeuner rapide pris en silence, comme flottant encore entre la torpeur et le souvenir, je décidai de me délasser dans la piscine du Ryad, laissant l'eau fraîche apaiser les traces invisibles de cette nuit d’abandon.
C’est immergé à mi taille dans l’eau fraiche du bassin que je le vis apparaitre, portant un slip de bain taillé dans une toile de polyester ultrafine , rappelant ces tissus translucides et légers utilisés pour certaines voiles, avec leur texture presque semblable à du papier calque. Son design affichait les couleurs de l'Allemagne : une bande noire mettant en valeur la ceinture, du jaune éclatant au centre et un rouge profond couvrant le bas du slip. Il le portait plutôt ample, si bien que la forme de son sexe se dessinait nettement sous le tissu souple, qui, trop fin pour masquer quoi que ce soit, laissait deviner chaque détail avec une précision troublante.
Il me rejoignit dans l’eau. Mais quand il s’immergeait pour réapparaitre et sortir de l’’eau, ce même tissu se plaquait tellement que ce n’était plus une empreinte, une forme qu’on devinait, mais presque comme une sculpture en ronde bosse. J’avais déjà remarqué, souvent avec délice, les hommes sortant de l’eau, avec un maillot en maille collant outrageusement à leur morphologie, Mais là, j’avoue que j’étais stupéfait, même subjugué par ce qui apparaissait aussi précisément à mes yeux. Bien sûr, comme tous les garçons, il tirait légèrement sur le tissu, cherchant à desserrer l'adhérence. Mais je ne pouvais m'empêcher de savourer ces quelques instants furtifs, juste avant que l'effet ne s’estompe, avant que le tissu ne retrouve son relâchement et que cette vision troublante ne disparaisse.
Et même une fois que le tissu s'était aéré, cette bosse, doucement ballotée au rythme de ses pas, continuait d'accaparer mon regard, impossible à ignorer, comme une évidence troublante.
Et le plus délicieux était sous l'eau, lorsque je m'enfonçais en apnée pour l'observer nager en crawl, son corps se tortillant et fendant la surface avec puissance. Il passait au-dessus de moi, m'offrant le spectacle envoûtant de son sexe, presque totalement libéré des contraintes du tissu, à peine contenu par cette toile devenue presque transparente, ne tenant plus grand-chose sous la fluidité de l'eau.
Trop excité, je sentis qu'il valait mieux quitter l'eau avant que mes sens ne me trahissent davantage , avant que cette tension insidieuse ne me pousse à l'irréparable . D'un mouvement fluide, je m'extirpai du bassin, offrant volontairement mon dos à son regard – précaution nécessaire, tant je craignais ce que mon corps aurait pu révéler face à lui. L'eau ruisselait encore sur ma peau lorsque je me dirigeai rapidement vers ma chaise longue, attrapant ma grande serviette dans un geste vif. D'un air faussement diffusé, je m'y drapai avec une hâte soignée, feignant de me sécher alors que c'était moins l'humidité que mon propre trouble que je cherchais à dissimuler. Et je m’étendis sur la chaise longue. Il vint spontanément s'installer juste à côté de moi, sans même prendre la peine de se sécher, laissant l'eau ruisseler librement sur sa peau blanche. Son maillot de bain, encore gorgé d’eau, se plaquait contre lui avec une précision troublante, ne laissant plus grand-chose à l’imagination. Chaque contour semblait sculpté par l'adhérence du tissu mouillé, souligné avec une évidence presque insolente les formes de son anatomie. Le moindre de ses mouvements, même anodin, ravivait mon trouble, exacerbant cette tension qui me brûlait déjà de l'intérieur. Je fis de mon mieux pour dissimuler les regards fascinés que je ne pouvais m'empêcher de lui jeter, feignant de m'intéresser à ma serviette, au ciel, au moindre détail alentour. Mais malgré tous mes efforts, mes yeux revenaient inlassablement à lui, heureux par cette vision à la fois hypnotique et dangereuse. Essayant de dissiper ma gêne, je rompis en lui offrant une cigarette. Nous nous retrouvâmes ainsi à parler de nous. Je lui expliquais les motivations de mes vacances sabbatiques que je prévoyais plutôt longues au Maroc. Il m’écouta avec intérêt. Puis un long silence. Je n’osai l’interroger en retour sur son équipée. C’est finalement de lui-même qu’il décida de parler.
Étudiant à Dortmund, mère française disparue depuis peu, il menait une vie confortable, presque insouciante, chez son père, un riche homme d'affaires allemand. Tout semblait lui sourire, du moins en apparence. Puis un jour…
Il s'interrompit. Je vis son regard se perdre un instant, fixé sur un point indéfini devant lui, sa mâchoire se contracta légèrement, comme si les mots qu'il s'apprêtait à prononcer pesaient d'un poids invisible. Un silence. Je sentais qu'il hésitait. Pas une hésitation anodine, mais comme une lutte intérieure, une retenue douloureuse, comme si franchir cette frontière et mettre en mots ce qu'il s'apprêtait à dire avait un prix. Il inspira profondément, passant une main distraite sur son ventre, jouant du bout des doigts avec le nombril, comme pour s'accrocher à quelque chose. Puis, après ce qui me parut une éternité suspendue, il me confia :
— Un fois, je suis rentré plus tôt que prévu de vacances. Moi, tu comprends, j'étais heureux de revoir mon père !
— Oui… et ?
— Et ? (Il s'arrêta, secouant la tête, cherchant ses mots comme s'il peinait encore à articuler ce qu'il avait vu.) Et ben… il n'était pas seul.
— OK… et alors ?
— Alors ? (Sa voix trembla, il lâcha un rire nerveux, sans joie.) Alors il était dans sa chambre… au lit ...
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