Mon ventre se tordait de désir, une douleur exquise montant jusqu’à ma gorge. Mon sexe gonflait à chaque mouvement, heurtant parfois la fraîcheur de l’eau plus profonde, déclenchant un frisson incontrôlable. J’avais envie de le toucher, de poser mes mains sur ses reins, de caresser la peau tendue de ses fesses. Tout mon corps vibrait d’une faim absolue.
Nous plongeâmes ainsi près d’une heure. À chaque descente, je le suivais, fasciné par son aisance, la souplesse de ses chevilles, le creux parfait derrière ses genoux, ses fesses, ce sexe toujours en demi-érection qui m’obnubilait, légèrement dressé vers l’avant, ondulant dans l’obscurité liquide. Et lorsque nous remontions pour reprendre de l’air, il tournait parfois la tête vers moi, ses cheveux plaqués sur son front, son regard brillant d’excitation. Je sentais son souffle chaud contre ma bouche, j’avais envie de l’embrasser là, immédiatement, ou de me coller à lui, sentir la chaleur de son ventre contre le mien. Mais aucun mot ne sortait. Juste nos respirations haletantes, nos regards, et cette tension brûlante qui montait entre nous à chaque immersion.
Je sentais, à chaque mouvement, la présence de nos sexes, le sien, le mien, flottant dans l’eau comme deux créatures vivantes, sensibles aux moindres courants. Le sien, légèrement dressé, oscillait sous son ventre, le gland pointé vers l’avant comme une flèche. Le mien, encore plus tendu, se cabrait vers le haut avant de retomber, freiné par le courant, tiré vers le bas dans un frisson exquis. Chaque contact de l’eau fraîche sur mon gland déclenchait un choc de plaisir si vif qu’il me coupait presque le souffle.
Et ce silence… ce silence avait quelque chose de magique et de délicieux. Tout ce que nous taisions mais pensions si fort, tout ce que nos regards avouaient sans un mot, ce que nos corps criaient en silence, créait autour de nous une bulle invisible, dense et légère, un monde où il n’existait que lui et moi. Ce non-dit vibrant rendait chaque battement de palme plus intense, chaque souffle repris plus brûlant, chaque contact furtif plus électrique, comme si nos corps conversaient dans un langage ancien et secret, dont nous retrouvions soudain la vérité nue.
Ce n’est que lorsque nous rejoignîmes le zodiac, tous deux agrippés à la même poignée pour remonter, que nos corps se frôlèrent vraiment. Nos torses humides glissèrent l’un contre l’autre, et je sentis son sexe, désormais durci, frotter le mien, tout aussi dressé. Un frisson fulgurant me traversa, comme un courant électrique. Je levai les yeux vers lui. Il me regardait fixement, son visage à quelques centimètres du mien. Nous restâmes immobiles, suspendus, l’eau coulant sur nos peaux tremblantes, nos souffles courts et chauds mêlés dans la nuit tiède. Le silence autour de nous était total, peuplé seulement du martèlement de nos cœurs.
Alors, il approcha lentement son visage et nos bouches se rejoignirent. Un baiser long, profond, brûlant. Sa langue caressa la mienne, ses mains glissèrent sur mes épaules, mon dos, puis descendirent sur mes hanches. Je sentis ses doigts frôler la naissance de mes fesses. J’enfonçai mes mains dans ses cheveux mouillés, le tirai contre moi, nos sexes tendus pressés l’un contre l’autre, provoquant un gémissement sourd dans sa gorge. Ses mains caressèrent mes fesses, les pressant contre les siennes. Nos bouches se quittaient et se retrouvaient dans une fièvre muette, tandis que l’eau clapotait autour de nous, berçant notre étreinte.
Je sentis alors sa main descendre entre nos ventres et saisir doucement mon sexe, le caressant lentement, jouant avec mes bourses, comme s’il en découvrait la forme et la densité. Un frisson violent me traversa, me faisant haleter dans sa bouche. À mon tour, je glissai ma main entre ses cuisses, refermant mes doigts sur sa verge dure et chaude malgré la fraîcheur de l’eau, puis je caressai également ses testicules fermes. Il gémit plus fort, son front appuyé contre le mien. Nous restâmes ainsi, à nous caresser mutuellement, nos respirations courtes, nos corps agités de légers tremblements, jusqu’à ce que je ne sente plus que la brûlure douce de son contact, son souffle rapide et le battement de mon cœur résonnant jusque dans mes tempes.
Mon corps tout entier vibrait d’un plaisir lourd et brûlant, un désir si puissant qu’il annihilait toute pensée. Je savais que je ne pourrais plus jamais me détacher de lui.
Puis, sans un mot, il recula légèrement, plongea son regard dans le mien, ses paupières mi-closes, et se retourna, agrippant la corde fixée au zodiac. Ses fesses rondes, tendues et luisantes d’eau phosphorescente, semblaient scintiller sous la lumière diffuse des bâtons. Il écarta légèrement les jambes pour trouver son appui, puis tourna la tête, ses yeux brillant d’une fièvre silencieuse. Il ne parla pas. Il n’en avait pas besoin. Tout était dit dans la cambrure de ses reins, la tension de ses cuisses, l’offrande muette de son corps. l’invite était par trop évidente...
Je m’approchai lentement, posai mes mains sur ses hanches, les fis glisser jusqu’à ses fesses, les caressant, les modelant avec une douceur avide. Il poussa un soupir bas, presque un gémissement, et cambra davantage son dos, m’offrant son sillon étroit et lisse. Je sentais mon sexe palpiter contre sa peau, gonflé, douloureux de désir. J’approchai mon ventre de ses reins, mes cuisses de ses cuisses, et le frottai doucement contre ses fesses, juste pour sentir la chaleur, le velouté incomparable de sa peau sous mes paumes.
Il tourna un peu plus la tête, cherchant mes lèvres. Je me penchai vers lui et nos bouches se retrouvèrent. Son baiser était tremblant, profond, avide. Je le sentis frissonner tout entier, ses épaules tressaillir sous mes mains. Lentement, guidé par un instinct plus puissant que la raison, je pressai mon sexe contre lui, le faisant glisser entre ses fesses, caressant la ligne de son sillon, sentant la chaleur incroyable de sa peau même sous l’eau. Il gémit encore, un son rauque et guttural, presque animal, et je sus qu’il me voulait, là, maintenant, sans réserve.
Je le pénétrai d’abord doucement, sentant sa chair chaude s’ouvrir avec une lenteur sensuelle. Il se cambra davantage, se crispant sur la corde, la tête baissée, ses cheveux ruisselant autour de son visage. Je pris appui, mes mains serrant ses hanches, et poussai plus fort. Il haleta, un son humide et rauque lui échappa, puis il se détendit, m’accueillant totalement.
Le premier mouvement fut lent, une onde brûlante nous traversant tous deux. Il repoussa ses hanches en arrière, m’enveloppant encore davantage, et un long gémissement résonna dans la nuit. Je sentais sa chaleur, son corps serré autour de moi, l’eau tiède glissant sur nos ventres et nos cuisses, le clapotis des vaguelettes contre le zodiac. Chaque mouvement déclenchait des traînées phosphorescentes autour de nos jambes, comme si nous faisions l’amour dans une mer d’étoiles vivantes.
Il vibrait maintenant sous mes mains, son dos cambré, ses omoplates tendues, sa nuque offerte. Ses doigts agrippaient la corde avec force, ses reins bougeaient à ma rencontre dans un rythme lent et brûlant. Je passai une main sur son ventre, attrapai son sexe durci et le caressai au rythme de mes mouvements. Il haleta plus fort, sa tête basculant en arrière, dévoilant son cou tendu, ses lèvres entrouvertes laissant échapper de petits gémissements brisés.
Je ralentissais parfois, savourant chaque seconde, chaque frisson qui naissait au creux de mes reins et irradiait tout mon corps. Il se resserrait sur moi, tremblant, vibrant de plaisir. Puis j’accélérais, nos souffles devenaient plus courts, plus rauques, nos corps claquaient doucement l’un contre l’autre, provoquant des gerbes de lumière phosphorescente autour de nos hanches.
Lorsque je sentis sa jouissance monter, son corps se mit à trembler. Il poussa un cri étouffé, ses mains toujours accrochées à la corde, tandis qu’il se vidait dans ma main, son sexe palpitant sous mes doigts. Ce fut ma perte. Je poussai un dernier coup de reins, profond, en me cambrant, jouissant à mon tour, la tête renversée, un cri muet ...
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