Ce récit a été noté : 3.9 / 4

 
( 0 = histoire nulle   4 = histoire TOP )


Ajouter à ma liste
Plongées sur Hyères 1

Publié par : pierre49590 le 21/07/2025

Ce soir-là, j’avais décidé que nous plongerions derrière la pointe. Je connaissais parfaitement ce plateau rocheux qui s’étirait sur une cinquantaine de mètres avant de plonger brutalement dans le noir, vers vingt mètres maximum. La mer était d’huile, sans un souffle de vent. Nous étions tous deux en maillot de bain dans le zodiac, nos combinaisons et notre matériel rangés au fond. La lumière mourante du jour éclairait encore faiblement la surface, déposant un voile rose et doré sur l’eau lisse.
Lelio était assis sur le boudin, à l’arrière, en face de moi. Il portait ce soir-là un maillot de bain blanc, un de ces slips minuscules, ultra-moulants, qui lui allaient comme une seconde peau. Je ne pouvais m’empêcher de fixer son entrejambe parfaitement dessiné par le tissu tendu. Son sexe y formait deux bosses nettes, séparées par le pli du tissu, et je distinguais nettement la forme de son gland presque au niveau de l’élastique de sa taille. Malgré moi, mon ventre se contracta d’une chaleur confuse. Je ne parvenais pas à détourner les yeux.
Il avait vingt ans, comme moi. Son corps était d’une perfection troublante, mince et musclé à la fois, sans aucune épaisseur inutile. Ses épaules larges contrastaient avec ses hanches fines, ses pectoraux se dessinaient fermes sans excès, et ses abdominaux sculptaient son ventre en lignes douces et nettes. Ses bras, longs et nerveux, portaient ce bronzage uniforme qui ne laisse aucune trace de T-shirt, offrant une peau lisse et dorée partout. Sous la lumière du soir, sa peau prenait une teinte cuivrée, presque dorée, qui faisait ressortir la blondeur de ses cheveux et la pâleur délicate de son visage.
Je le contemplais comme on regarde un tableau ancien, avec un mélange d’admiration esthétique et de désir brut, presque irrépressible. Et je remarquai surtout, à chaque fois que le zodiac heurtait un clapot ou qu’une vague le faisait bondir légèrement sur son siège, la façon dont ses muscles se contractaient avec précision et souplesse. Ses abdominaux se creusaient, ses obliques se tendaient en cordes fines sur ses flancs, ses pectoraux vibraient pour stabiliser son buste. Ses cuisses se raffermissaient sous l’effort constant, dessinant ses quadriceps en bosses nettes. Sa peau se tendait avant de se relâcher dans une harmonie parfaite, son corps réagissant avec une coordination animale et inconsciente pour amortir les chocs.
Mais surtout, lorsque le boudin sautait plus haut, je me délectais du spectacle : je voyais le paquet de son sexe, pris dans ce maillot assez lâche malgré sa coupe moulante, se soulever sous l’effet du rebond avant de retomber gracieusement. Ce mouvement révélait la souplesse et le poids de ses bourses, la douceur vivante de son sexe. J’étais hypnotisé par cette vision à la fois brute et délicate.
Il y avait là quelque chose de profondément viril et gracieux : la puissance maîtrisée, le naturel absolu d’un corps qui sait se préparer au déséquilibre. Chaque contraction de ses abdominaux, chaque vibration de ses cuisses, chaque petit sursaut de son sexe éveillaient en moi l’envie de tendre la main pour sentir sous mes doigts la fermeté élastique de sa chair vivante, chaude et vibrante de vie.
Le moindre de ses mouvements me semblait chargé d’une beauté nue, d’une sensualité souveraine. J’avais l’impression d’assister à la perfection vivante d’un corps fait de forces souterraines, de souplesse animale et de grâce humaine. Et je restais là, sans voix, avec au creux du ventre un mélange de désir et d’admiration muette qui me coupait presque la respiration.
Je vis qu’il me regardait aussi. Ses yeux s’attardaient parfois sur mon torse nu, descendaient le long de mes bras, s’arrêtaient sur mes cuisses en passant par mon slip, puis revenaient à mon visage. Aucun mot n’était échangé. Mais dans ce silence, quelque chose vibrait, lourd et presque palpable, comme si l’air entre nous était devenu plus dense et plus chaud, chargé d’une tension nouvelle.
Dans le ronron du moteur, il me raconta d’une voix posée que cela lui rappelait beaucoup ses sorties en mer avec son père, pour leurs plongées en apnée de nuit dans le golfe de Gênes. Là-bas, disait-il, l’eau était parfois si noire qu’elle se confondait avec le ciel, et en s’immergeant, on avait la sensation de flotter entre deux infinis. À cet instant précis, le ton de sa voix, calme et rêveur, ajoutait à l’atmosphère étrange et presque solennelle qui s’installait.
Tout autour, la mer était devenue un miroir sombre, parfaitement plat, à peine strié de vaguelettes. On n’entendait plus que le moteur et le clapotis contre la coque. L’air sentait le sel, les algues chaudes et déjà un peu l’humidité de la nuit naissante. Il glissait sur nos peaux encore brûlantes du soleil, comme une caresse tiède et apaisante. Au loin, quelques lumières s’allumaient sur la côte, minuscules éclats tremblants dans l’obscurité grandissante. À mesure que nous approchions du site, la nuit tombait plus vite.
J’arrêtai le moteur à quelques mètres du tombant et lui fis signe :
« Va jeter le mouillage, s’il te plaît. »
Il se leva d’un mouvement souple, se déplaça à l’avant du zodiac et attrapa la chaîne. Il posa un pied sur l’anneau, s’inclina, cambrant les reins pour basculer le mouillage. De ma place, j’admirais son dos parfait qui se tendait sous l’effort, ses omoplates saillant légèrement sous sa peau dorée, comme deux ailes prêtes à se déployer. Ses trapèzes dessinaient un relief harmonieux jusqu’à la base de son cou, et toute la ligne de sa colonne semblait sculptée dans l’ambre sous la lumière déclinante.
Mais c’était surtout la cambrure de ses reins qui me fascinait. Ses fesses, moulées par son slip blanc si étroit qu’il en dévoilait presque la naissance du sillon, se tendaient, dessinant deux demi-lunes fermes et rondes, à la fois puissantes et délicates. Leur peau luisait légèrement, parcourue de frissons à chaque mouvement, comme sous une caresse invisible. La ligne où ses lombaires se creusaient descendait vers le sillon sombre, d’une beauté presque abstraite, semblable à une sculpture antique polie par les siècles, mais ici vivante et brûlante.
Entre ses cuisses légèrement écartées, j’apercevais la forme pleine de ses bourses, serrées dans le tissu et repoussées en arrière par sa position. Elles formaient un renflement mouvant, un poids vivant qui me captivait. La limite nette du scrotum, sa texture plissée sous la minceur du tissu blanc, laissait deviner une teinte plus sombre, comme un secret révélé malgré lui.
Un frisson me parcourut la nuque avant de descendre jusqu’à mon bas-ventre, y éveillant un élancement brûlant. Je n’arrivais plus à respirer normalement. Devant moi, il incarnait la beauté masculine dans sa vérité la plus pure : force et grâce mêlées, une sensualité tranquille, inconsciente d’être observée. Cette vision possédait une perfection presque douloureuse, telle un tableau italien aux teintes d’ocre et d’or, une composition absolue où chaque courbe et chaque ombre trouvaient leur juste place.
J’avais la sensation de me trouver face à un mystère : celui d’un corps si jeune et vibrant d’énergie contenue qu’il en paraissait irréel. Un serrement profond m’étreignit, mélange de désir, de fascination et d’admiration sacrée, comme si j’observais un dieu antique penché sur le monde.
Il jeta l’ancre et se rassit face à moi. Son regard croisa le mien plus longuement qu’à l’accoutumée. Sans un mot, ses yeux brillaient d’une lueur étrange. Il avait perçu mon émoi. Sa main passa sur sa cuisse avant de se poser un instant sur mon genou, puis il la retira. Ce contact fit naître un frisson sur ma peau. Lelio avait toujours été tactile, mais ce soir-là, chacun de ses gestes prenait une autre signification. Chaque effleurement devenait promesse, chaque regard, une question. Quand il me tendit mon masque, ses doigts frôlèrent ma paume plus longtemps qu’il n’était nécessaire. Quand il dégagea le tuyau coincé sous mon pied, sa main glissa sur mon mollet. Et lorsqu’il repoussa la bouteille de plongée derrière nous, son épaule toucha la mienne, y demeurant une seconde avant qu’il ne se redresse.
Je n’eus pas le temps d’attraper ma combinaison ni ma ceinture de plomb. Il s’assit, jambes croisées, me fixa avec un léger sourire et brisa le silence :
« Tu sais… j’ai toujours plongé la nuit en apnée… nu. C’est la seule vraie liberté. Ça te dirait d’essayer, toi aussi ? »
Mon cœur battait à tout rompre. J’hochai la tête, incapable de prononcer un mot.
Toujours silencieux, il se leva et glissa ses pouces dans son maillot de bain. Il le fit descendre lentement le long de ses hanches, d’un geste si fluide qu’il paraissait chorégraphié, révélant d’abord la ligne délicate de son bas-ventre, ce sillon gracile qui menait à son pubis. Ses deux sillons inguinaux apparurent, nets et profonds, encadrant son ventre en un V parfait, soulignant la naissance de son sexe avec une élégance virile presque douloureuse.
Avant même que son sexe ne se révèle, je vis la douce apparition de sa toison pubienne : un triangle de poils blond sombre, dense sans excès, parfaitement entretenu, qui soulignait la blancheur mate de son bas-ventre et accentuait la courbe descendante vers ses organes. Elle dégageait une impression de sauvagerie délicate et de raffinement extrême, comme si ch ...

... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite


Mots-clés : Histoire 100% vécue, Gay