Le Bain de Soleil
Chez moi, j’ai, près de ma piscine,  un endroit caché de la vue de  mes voisins  sur lequel je peux prendre des bains de soleil en toute nudité. Je devrais à présent dire je croyais, car je n’avais pas tout envisagé.  En cette fin d’avril, je profitais d’un soleil prometteur pour donner à ma peau quelques couleurs. Totalement nu  je   me laissais caresser la peau par les rayons d’un soleil prometteur. Bien caché je m’abandonnais aux bienfaits de sa chaleur. De l’endroit où je me trouvais  je remarquais que de l’autre côté de l’avenue une petite fenêtre  avait une vue sur cet angle que je croyais secret. Je n’y prêtais pas plus  attention  heureux d’offrir ma peau à la nature. Je ne sais pourquoi je me relevais, mais je  cru apercevoir une présence derrière une petite fenêtre qui avait somme toute échappée à mes investigations. Une nouvelle fois allongé, je fis en sorte de me positionner de manière à avoir une partie de cette fenêtre dans mon champ de vision.
Mimant la somnolence qui est  de règle dans ma position, à travers mes lunettes de soleil j’observais ce qui pour moi était une lucarne. Une ombre ne tarda pas à se révéler. Un homme ou une femme ? J’optais pour un homme me référant à la taille et à la place que cette ombre prenait dans l’encadrement.  
Je pris alors plaisir à prendre des poses aguicheuses. Sur le dos, les cuisses largement ouvertes j’offrais une vision sur mon sexe. D’une main j’approchais un  téton et de  l’index j’entrepris de le titiller. Cette action  appela  ma deuxième main qui attaqua l’autre téton. Ces attouchements  ne tardèrent  pas à faire durcir mon sexe qui augmenta lentement de volume pour  venir se tendre sur mon abdomen.  Mon voyeur était toujours là. Alors  ma main glissa vers mon sexe et j’entrepris une légère masturbation qui devait avoir pour objet de réveiller totalement les sens de mon observateur.
Je crûs l’avoir vraiment découragé, car il disparut un bon moment  de la  fenêtre. Grisais par les caresses, aussi bien les miennes que celles du soleil, J’étais parti dans  des pensées plus qu’érotiques,   je m’étais mis en appétit et j’avais  totalement oublié mon voyeur, lorsqu’on sonna. Quel était l’emmerdeur qui m’obligeait à me vêtir à la hâte et de quitter ma béatitude ?
Enroulé dans un peignoir de bain j’avais des difficultés à masquer la raideur de ma queue  qui elle n’avait qu’une intention, se débarrasser du peignoir éponge. Je n’en crûs pas mes yeux, de l’autre côté de la porte je vis  mon voisin en chair et en os. Avec des yeux  brillants,  il me demandait :
	 Excusez-moi, ce que je vais vous demander est un peu cavalier. Nous ne nous connaissons pas. Je m'appelle Kevin, j’habite la maison d’en face et je vous ai aperçu  sur le bord de votre piscine. J’ai envie d’en faire construire une, cela ne vous dérange pas  de me la montrer de prés ? 
 Si j’avais du mal à maitriser ma bandaison, la grosseur  de sa braguette m’indiquait que ce n’était pas la piscine qu’il venait voir. Avec le sourire, sans doute un peu coquin, je l’amenais près de l’endroit où j’avais posé ma serviette. 
	Voilà, lui dis-je. Ce n’est pas une piscine olympique, mais pour se rafraîchir et bronzer  ça taille est idéale. Regarder et poser moi des questions.
Perfide, j’ajoutais :
	Si cela ne vous ennuie pas, je vais continuer à me faire bronzer. Je trouve ce  premier soleil d’avril  particulièrement agréable, ne trouvez-vous pas ?
	Tout à fait.
Sur ce, je posais mon peignoir de bain et nu je m’allongeais là où de sa lucarne il m’observait quelques instants auparavant. J’étais certain que ma provocation déclencherait  une réaction.
	 Un autre avantage, me dit-il pour meubler la conversation et ne pas rester comme une potiche, c’est que la piscine permet de se baigner nu. 
	Pour ça, il faudra attendre un peu, pour l'instant elle n’est qu’à 15°, mais le soleil va  rapidement commencer son travail de réchauffement. 
J’étais certain  que dans son pantalon ça devait commencer  aussi à chauffer et que  la température était en train de monter !
	Si vous voulez en profiter, lui dis-je d’un air détaché à la limite de l’indifférence,  il y a une serviette sur le fauteuil, vous pouvez vous installer.
Ma phrase était directe et je fermais les yeux, convaincu qu’il se dirigerait vers la serviette. À travers mes cils je vis en effet une ombre se rapprocher de moi.
	Installez-vous à côté, lui proposai-je, ce sera plus facile pour causer.
Il avait gardé son boxer et sous le coton  sa queue avait pris une belle proportion. Ce  qui me laissait entrevoir le futur avec exaltation.  C’est moi qui le premier, l’invitai à ôter le dernier pa ...
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