En plein cœur d’un hiver glacial à Chalon-sur-Saône. La ville se couvre de givre et de brume, mais moi, Sally, fidèle à ma nature brûlante, je ne laisse pas le froid éteindre mon feu intérieur. Ce matin-là, je me faufile dans les rues enneigées, chaque pas résonnant sur le bitume gelé, dans une tenue que certains diraient suicidaire, mais qui, pour moi, est simplement... parfaite : une robe patineuse en vinyle noire à manches longues, outrageusement courte, non doublée bien sûr. Par-dessus, un petit manteau en fausse fourrure, juste assez long pour flirter avec l'indécence et laisser deviner le haut de mes cuissardes à talons aiguilles en vinyle noir brillant. En dessous, un simple string en vinyle épouse mon entrejambe, enfermant tendrement mon sexe mou, accessoire décoratif à mon plaisir assumé.
Mes ongles stiletto, vernis d’un rouge pailleté profond, captent la lumière hivernale à chaque geste, en parfaite harmonie avec la teinte sulfureuse de mes lèvres. Mon maquillage est une œuvre d’art — faux cils, contouring, rouge baiser — et mes seins artificiels tendent fièrement la matière brillante de ma robe. Je suis une provocation vivante, une invitation.
Je le sens : aujourd’hui, je vais réchauffer plus d’un homme gelé.
Dans un petit bar discret du centre-ville, je compte bien me livrer sans filtre, sans pudeur, sans retenue. C’est dans ma nature : m’offrir est une évidence, un plaisir, un besoin.
Je vais affronter la morsure du vent avec ma seule arme véritable : mon insatiable appétit sexuel. Et je te promets que la chaleur moite des corps qui me prendront transformera cette journée glaciale en brasier incandescent. Mon histoire commence ici…
Le bar Le Mistral, en plein cœur de Chalon-sur-Saône, baignait dans cette lumière douce que j’adore les matins d’hiver. Les quelques habitués sirotaient leur café en silence, savourant la chaleur tandis que le froid mordait encore dehors.
J’ai poussé la porte à 9h précises. Quand je fais une entrée, je veux qu’on me voie. Ma robe en vinyle noir, moulée à mes formes, épousait chacun de mes mouvements. Mon manteau court en fausse fourrure a glissé sur le bar dès que je l’ai posé, dévoilant mes cuissardes à talons aiguilles, elles aussi en vinyle noir. Mes longs ongles rouges pailletés accrochaient la lumière — tout comme mes lèvres parfaitement dessinées.
Le patron du Mistral m’a accueillie avec ce sourire complice que j’aime tant, ce regard aiguisé qui me dit qu’il sait exactement ce que je suis. On ne s’est pas dit un mot. Juste un échange de regards, lourd de promesses. Sa main s’est glissée sur ma cuisse. Son toucher m’a fait frissonner jusqu’à la nuque.
Autour de nous, le silence s’est installé, comme si le temps suspendait sa course. J’ai soutenu son regard, provocante, mes yeux lançant des éclairs. Quand il m’a invitée d’un geste à le suivre dans l’arrière-salle, j’ai esquissé un sourire joueur et j’ai refusé. Trop facile.
Au lieu de ça, j’ai contourné le bar, lentement, avec toute l’assurance du monde, puis je me suis agenouillée devant lui. Oui, là, en pleine lumière. Offerte. Prête. Je l’ai regardé, mes ongles étincelants captant la moindre vibration de lumière, mon regard mêlant défi et désir.
Il a posé ses mains sur mes épaules, un peu surpris, beaucoup excité. Il a senti l’ardeur qui brûlait en moi. Et là, tout a disparu autour. Il n’y avait plus que lui, moi, et cette tension délicieuse entre nous — électrique, irrésistible.
Je sentis brusquement ses mains me relever à moitié, me prenant en levrette, appuyée contre le comptoir du bar. Le contact froid du vinyle contre ma peau contrastait avec la brûlure de ses mains sur mes hanches, la fermeté de mes cuissardes sur le sol.
Je gémais avec une intensité crue, parfaitement synchronisée aux coups fermes et rapides du patron, mes ongles acérés s’enfonçant profondément dans le bois dur du bar, griffant la surface avec une urgence presque sauvage. Le patron, haletant, murmura d’une voix grave et impérieuse : « T’es à moi, Sally. Personne d’autre ne compte ici, c’est toi, juste toi. » Je répondis en haletant, la voix tremblante de désir : « Je suis toute à toi, fais-moi hurler, donne-moi tout ce que t’as. »
Autour de nous, le brouhaha matinal semblait s’effacer, remplacé par le rythme saccadé et implacable de notre ébat impudique, une danse primitive d’envie et de soumission, brute et irrépressible. Il enfonça ses doigts dans ma chair, sa main glissant pour attraper fermement mes hanches, me tirant plus près de lui. « Plus vite, Sally, montre-moi que t’es pas là pour jouer. »
Je répondis par un cri rauque, mes mouvements s’accélérant, mordant ma lèvre rouge tandis que mes cuissardes crissaient sur le bois du comptoir. Mes ongles griffaient toujours, laissant des marques fugaces, témoins de l’intensité de notre union.
Plus loin dans la pièce, certains clients, incapables de résister à cette charge sexuelle, commencèrent à bouger. Plusieurs glissèrent discrètement la main sous leur pantalon, faisant sortir leur membre dur et palpitant, caressant leur verge avec une lenteur dévorante.
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Leurs souffles se firent plus courts, plus précipités. Deux hommes, d’abord timides, se rapprochèrent, leurs mains se cherchant, s’explorant, passant rapidement de caresses hésitantes à des gestes plus appuyés, s’aidant mutuellement à intensifier leur plaisir.
Mes gémissements et ceux du patron se mêlaient aux souffles haletants des clients. L’atmosphère devint lourde, presque électrique, chargée d’une tension charnelle exacerbée. Le patron, ne pouvant se retenir, pencha la tête pour souffler à mon oreille : « Tu sens ça ? Tout ce monde qui te regarde se déchirer pour toi. T’es la reine ici, la salope du jour. »
Je répondis, les yeux brillants de folie : « J’adore ça, que tout le monde me veuille, que personne ne puisse m’arrêter. » Puis, d’un geste provocateur, j’accentuai mes mouvements, faisant claquer mes cuissardes contre le bois avec une violence exacerbée.
Deux clients se levèrent alors, s’embrassant sauvagement avant de s’enlacer pour se masturber mutuellement devant les regards complices et lubriques des autres. Leur baiser était rude, chargé de désir et d’urgence.
— Tu bandes, chéri ? grogna l’un, la voix cassée par l’excitation, la main plongeant sans vergogne sous le pantalon de l’autre, agrippant sa queue dure qui gonflait sous ses doigts avec une brutalité féroce.
— Putain, je vais exploser, cracha l’autre en le saisissant par la chemise, sa main s’abattant avec force sur la peau brûlante, ses doigts creusant chaque veine gonflée, chaque pli sensible, sans aucune douceur.
Leurs mains ne laissaient aucun répit, frappant, pressant, caressant et maltraitant leurs membres tendus avec une urgence animale, sauvage, presque violente.
— J’adore te voir bander comme ça, grogna le premier en mordillant férocement la lèvre inférieure de son amant, laissant échapper un râle guttural.
— Donne-moi ton cul, petite lope, grogna-t-il, ses doigts martelant frénétiquement, sa voix rauque déchirant le silence chargé d’envie.
L’odeur du sexe imprégnait l’air, mêlée aux relents du café, tandis que les corps s’échauffaient, se livrant à une danse sauvage, brute, sans faux-semblants.
Le second homme, le souffle court et les muscles tendus par l’excitation, s’enfonce brutalement dans le cul de son partenaire, ses hanches martelant avec une intensité féroce. Sans capote, il le pilonne à sec, le faisant hurler de plaisir sous chaque coup de reins, ses mains agrippant fermement ses hanches comme pour le posséder entièrement. Le premier explose dans un cri rauque, tremblant de tout son corps, le corps secoué de spasmes puissants. Puis, sans attendre, il se laisse tomber à genoux, sa bouche avide engloutissant le sexe ruisselant de son amant, le suçant avec une gourmandise animale, savourant chaque goutte, chaque frisson, les gémissements du second alimentant encore plus sa frénésie dévorante.
Puis le premier homme se met a bander puissamment en regardant Sally prendre du plaisir avec le patron... il se caresse lentement pour ne pas jouir trop vite mais attends son tour avec impatience.
D'autres clients observent la scène avec sally:
— Tu crois qu’elle le fait exprès, elle, avec sa robe et ses talons à cette heure ? murmura un homme à son voisin, la voix basse mais pleine de désir.
— Impossible de résister, répondit l’autre, les yeux rivés sur Sally. Regarde-moi ça, c’est pas humain.
Leurs mains avides dévoraient la peau moite, agrippant muscles tendus, explorant chaque courbe et angle exposé avec une urgence féroce. Leurs souffles se mêlaient, lourds et rapides, leurs regards échangés trahissant des promesses de plaisirs cruels et sauvages, sans la moindre retenue ni limite. Parfois, l’un d’eux se redressait brusquement, saisissant plus fermement, accentuant la brutalité des sensations, tandis qu’un autre laissait échapper un cri rauque, déchirant, comme un animal en transe.
Tu crois qu’elle va tenir toute la journée comme ça ? s’étonna un troisième en se caressant lentement.
J’espère bien, répondit un autre avec un sourire pervers. Elle met le feu à ce bar, c’est sûr.
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