Je me redressai, réajustai ma robe sans me nettoyer, fière, provocante. Je sortis de la cabine en titubant légèrement, la démarche encore marquée par l’intensité de l’ébat. Sur le mur en face, un miroir me renvoya mon reflet : les cheveux décoiffés, les lèvres luisantes de foutre, le maquillage ravagé. Je souris. C’était parfait.
Un autre homme attendait déjà devant la cabine suivante. Le regard fiévreux, la braguette déjà ouverte. Il ne dit rien. Je lui fis un clin d’œil, avançai vers lui avec la lenteur d’une prédatrice.
— Tu veux pas rester sur ta faim, toi non plus ?
Mais cette fois, je ne m’agenouillai pas. Il m’attrapa brutalement par les hanches et me plaqua contre la porte de la cabine dans un claquement sourd. Je poussai un rire rauque, cambrée, offerte, les mains posées à plat contre le bois peint.
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Il écarta violemment mon string en vinyle, dévoilant mon intimité dégoulinante, encore souillée des hommes précédents.
— Vas-y… prends-moi là, comme une chienne, grognai-je, le souffle court.
Il ne se fit pas prier. Sa queue déjà dure s’enfonça en moi d’un coup sec. Je gémis si fort que le son se répercuta dans tout le couloir. Chaque va-et-vient envoyait mon corps percuter la porte avec fracas. Je tenais bon, cambrée à l’extrême, les cuisses écartées, mes cuissardes crissant sur le sol, les talons ancrés dans le lino crasseux.
Il accéléra, me tenant par la taille, puis par les cheveux, me dominant avec une fougue animale. Je ne demandais que ça. Je hurlai, suppliai presque qu’on me remplisse, mes ongles griffant la peinture écaillée.
— Tu la sens, ma salope ? T’as encore faim ?
— Encore ! Encore ! hurlai-je en retour. J’veux sentir ta crème dégouliner de moi…
Et il me donna tout. Son râle fut un coup de tonnerre. Il se vida en moi, les reins tremblants, plaqué à mon dos, ses mains agrippées à ma taille. Je restai cambrée quelques secondes, offerte, la respiration saccadée, savourant la chaleur qui ruisselait entre mes cuisses.
Puis je me redressai lentement, lissai ma robe avec lenteur, me tournai vers lui, le regard encore en feu.
— C’est tout ce que t’avais ? lançai-je en riant, provocante, avant de fixer les silhouettes dans l’ombre. Qui est le suivant ?
Une voix grave résonna dans le couloir, chaude, autoritaire :
— Moi.
Je reconnus aussitôt le patron du sex-shop. Il s’avança lentement, les mains dans les poches, le regard rivé sur moi avec une intensité animale. Sa chemise entrouverte laissait entrevoir un torse poilu, solide, et l’assurance tranquille de celui qui savait exactement ce qu’il allait faire de moi.
— Tu mets l’ambiance, ma belle… souffla-t-il. C’est à mon tour de goûter.
Je me mordis la lèvre inférieure, les cuisses encore humides, le cœur battant plus fort. Il s’approcha sans hâte, me retourna d’un geste sûr, et me plaqua cette fois contre le mur du couloir, mes seins s’écrasant contre la peinture froide, mes bras relevés, soumise, offerte.
Il écarta mon string d’un geste impatient, le laissa pendre à mi-cuisse, puis je sentis sa queue se frotter contre ma fente déjà inondée. Il ne prit pas le temps de jouer. Il me pénétra d’un seul coup, brutalement, profondément. Mon cri se perdit dans un halètement déchiré, les doigts crispés contre le mur, mes jambes fléchissant légèrement sous l’impact.
— Putain… t’es brûlante, grogna-t-il à mon oreille.
Ses mains calleuses me tenaient fermement par la taille, me pilonnant sans relâche, chaque coup de reins me projetant contre la paroi. Ma robe en vinyle remontée sur mes reins claquait dans le rythme effréné de notre ébat, mes cuissardes glissaient contre le carrelage, mes talons frappant au sol comme une cadence de guerre.
Je haletais, gémissais, hurlant même parfois, incapable de contenir ce flot de plaisir brut qu’il m’offrait. Ses râles se mêlaient aux miens, son corps se plaquant au mien, sa barbe râpeuse effleurant ma nuque trempée de sueur.
— Baise-moi ! Vas-y ! Fais-moi jouir comme une pute, suppliai-je, la voix brisée, mes cuisses tremblantes.
Il accéléra encore, jusqu’à ce que je sente ses doigts s’enfoncer plus fort dans mes hanches, son souffle se raccourcir, et sa queue pulser violemment en moi. Il jouit dans un râle bestial, se vidant au plus profond de ma chatte ruisselante.
Je restai collée contre le mur, le corps secoué de spasmes, les jambes tremblantes, le dos marqué par la violence de notre union. Lorsqu’il se retira, lentement, un filet chaud coula immédiatement le long de ma cuisse.
Il recula, me regarda me redresser avec fierté, ma robe froissée, mon maquillage ravagé, le sperme dégoulinant encore entre mes jambes.
— Tu veux pas t’arrêter, hein ? murmura-t-il, le souffle court.
Je me retournai, les yeux brillants, un sourire sauvage aux lèvres.
— Pas tant qu’il en reste un qui bande.
Le patron reprit lentement son souffle, ajusta sa chemise, puis jeta un œil à sa montre. Il soupira, passa une main dans ses cheveux humides de sueur, et me lança avec un sourire en coin :
— J’adorerais continuer encore, mais je vais devoir fermer boutique, ma belle. C’est l’heure de clore le rideau.
Je le regardai, encore cambrée contre le mur, le foutre coulant entre mes cuisses, et lui rendis un sourire malicieux.
— Dommage… je commençais à peine à m’échauffer.
— Je suis sûr que tu trouveras d’autres amateurs dehors, répondit-il en riant doucement. Allez, enfile ton manteau, salope… tu vas faire des ravages jusqu’au petit matin.
Je réajustai lentement ma robe en vinyle, remettant mon string trempé en place, puis sortis un mouchoir pour éponger mon visage. D’un geste sensuel, je recoiffai ma chevelure en désordre, retouchai mon rouge à lèvres, et remis mon manteau en fausse fourrure sur mes épaules marquées de plaisir.
— Merci pour l’accueil… soufflai-je avant de lui déposer un baiser humide sur la joue. On remet ça quand tu veux.
Et je quittai le sex-shop d’un pas assuré, mes talons claquant dans le silence retrouvé du sous-sol, la tête haute, le corps encore vibrant, prête pour la suite de cette journée d’hiver démente.
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Je me remis en marche, encore poisseuse de foutre, les cuisses luisantes sous la lumière froide des lampadaires. J’errais dans les rues de Chalon-sur-Saône, le vinyle de mes cuissardes claquant fièrement sur le bitume gelé. Chaque pas résonnait comme une déclaration : j’étais là, visible, impudique, désirable. Le froid mordait mes cuisses nues, mais mon feu intérieur ne faiblissait pas. Je me sentais vivante. Glorieusement sale. Absolument moi.
Je bifurquai vers la promenade en bord de Saône, cette large allée piétonne paisible et presque déserte à cette heure. La rivière, noire et profonde, coulait lentement, miroitant sous les réverbères comme un ruban de soie tremblante. Le silence y était à peine troublé par le souffle discret du vent et le bruit régulier de mes talons hauts frappant les dalles propres. Ce claquement, fier, cadencé, résonnait comme une marche triomphale, une mélodie de désir que je jouais pour la nuit.
J’adorais cette sensation de solitude en pleine lumière. Je m’y sentais souveraine, reine de la ville et du fleuve. Mon reflet dans les vitrines abandonnées me montrait une silhouette fière, maquillée de foutre et d’audace. Ma robe patineuse en vinyle luisait sous les lampes, et à chaque pas, elle découvrait un peu plus de mes cuisses ruisselantes. Le vinyle frottait doucement entre mes jambes nues, me rappelant à chaque instant ce que j’avais donné… et ce que je pouvais encore offrir.
Mais mes vieux réflexes de pute me collaient à la peau. Je connaissais chaque passage piéton de cette portion de ville. À chaque croisement, je traversais la rue, même s’il n’y avait personne. Juste pour me montrer. Pour me sentir vue. Pour provoquer. Je ralentissais à dessein, la robe voletant autour de mon cul offert, mes talons aiguille martelant le goudron comme une prière obscène.
Dès qu’une voiture s’approchait, je jouais la scène. Mon regard accroché à l’habitacle, mes hanches ondulant avec insolence, je me faisais spectacle. Certains freinaient brutalement, happés. D’autres ralentissaient, leur visage collé à la vitre, hypnotisés. Quelques-uns baissaient la glace, la langue nouée, les yeux rivés à mon entrejambe moulé de vinyle.
Je leur répondais toujours. Un sourire sulfureux, un clin d’œil, parfois un geste lent de la main caressant ma cuisse ou glissant entre mes seins. Un langage muet de la luxure. Je sentais leurs queues durcir même à distance, et je savais qu’ils repartiraient frustrés… ou qu’ils feraient demi-tour.
Je n’étais pas perdue. J’étais en chasse. Et ce soir, il y aurait encore des corps, encore des mains, encore des queues pour moi. Je le sentais. C’était écrit dans l’air gelé. C’était mon heure.
Un camion s’arrêta à ma hauteur, lentement, les phares éclairant mes cuissardes d’un halo chaud. La cabine s’immobilisa juste à côté du trottoir. La portière passager s’ouvrit dans un grincement métallique, et un homme à la carrure massive me lança un simple regard, lourd de sous-entendus. Sans réfléchir, portée par l’élan de ma soirée, je grimpai dans la cabine comme on entre dans un rêve moite et dangereux.
L’habitacle était chaud, sentait l’huile, le cuir et la virilité brute. Le chauffeur, la quarantaine bien virile, bras tatoués, portait une veste de flanelle ouverte sur un débardeur tendu par ses muscles. Il me détailla du regard, sa ...
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