Ce soir là, j'allais rencontrer un jeune étudiant d'origine africaine. Nous avions échangé quelques mots plutôt distant pour ce genre rencontre avant de fixer un rendez-vous chez lui, ou plutôt dans sa chambre d'étudiant. il disait s'appeler Claude (Le nom a été modifié). Je trouvais étrange qu'il porte un nom aussi "français" pour un étranger. Sans doute un vestige de la colonisation. Il avait vingt et un ans (il était donc plus jeune que moi) et faisait ses études en France. N'y avait-il pas d'universités dans son pays? Peut-être que non après tout, dans ce genre de contrée, l'éducation du peuple n'était pas la priorité des dirigeants.
On était loin de mes critères de sélection habituels; soit le Daddy bcbg à l'allure distingué. Cela valait-il la peine de faire tout ce chemin? Peut-être que oui après tout. Ne fallait-il pas essayer pour savoir si on aimait ou pas? Tout les goûts se trouvent dans la nature ! N'est ce pas ?
Sur la route menant au village universitaire, je repensais à un de mes anciens camarades de classe, noir lui aussi. Nous étions au collège et nous partagions une belle amitié ainsi que l'acharnement des autres élèves. Lui à cause de ses origines et sa couleur de peau et moi pour ma sensibilité exacerbée. Introverti, mal dans ma peau, j'étais la proie idéal pour tout ces vilains garnements qui me faisaient la vie dure. Quelle était la raison de leurs acharnements? Était-ce parce que je me sentais différent? Le ressentaient-ils ? Étais-je vraiment comme ça ou l'étais-je devenu par la force des choses au détour d'une mauvaise rencontre avec trois lascars lorsque j'avais à peine dix ans? Mais ça, c'est une autre histoire...
Notre différence était sans doute la raison qui nous avait rapproché. J'étais "la fillette " et lui "le négro". Je me faisais constamment harcelé dans le bus et à l'école. Subissant les pires sévices; Bousculade, claques, injures, crachas, rien ne m'était épargné. Je fondais en larmes à tout bout de champ, mais Bled (le nom à été modifié) prenait toujours ma défense. Lui, n'avait pas peur alors que j'étais terrifié. Je l'admirais énormément pour son courage.
Il avait été adopté par un vieux couple qui ne pouvait pas avoir d'enfants. J'étais le seul à lui adresser la parole et il était le seul à me respecter. Il était toujours gentil et dévoué avec moi, rapportant mes affaires lorsque je les oubliais après une énième humiliation. Après l'école, nous jouions ensemble dehors ou nous regardions la télévision à la maison. Mes parents ne semblaient pas contrariés de recevoir ce camarade de couleur . Il était mon ami, mon seul ami.
L'année suivante, ses parents adoptifs finirent par déménager. Je ne le revis jamais. Je me demandais ce qu'il était devenu après toute ses années et comment serait nos retrouvailles si elles avaient lieu...
Il faisait déjà presque nuit lorsque j'arrivais sur le parking faiblement éclairé en face des appartements pour étudiants. Étant un piètre conducteur, je me repris à plusieurs fois pour tenter de me garer à peu près correctement. C'est en essayant une énième manœuvre pour aligner ma petite citadine, que je vis mon étudiant à la peau d'ébène qui m'observait d'un air dubitatif. Affublé d'un short de surfer trop ample et d'un Marcel informe, il affichait une allure quelque peu négligée qui me laissait perplexe. En m'attendant, impatient, il fourra une main dans son calbute et commença à se tripoter pendant que je galérais avec mes manœuvres maladroites. Claude était joli garçon, aussi grand que moi mais plus mince.
Une fois stationné à peu près correctement, j'allais à sa rencontre.
"_Salut, tu m'attendais ici?
_Oui, mais je pensais que tu allais repartir tout de suite. Que tu avais changé d'avis. Que je ne te plaisais pas."
Il parlait avec un fort accent africain, d'une voix à la fois douce et grave. Son regard intense intimidant en disait long sur ses envies.
"_Non, ne crois pas ça. J'ai toujours un peu de mal avec les manœuvres."
Après l'avoir rassuré, je le suivais jusqu'à sa chambrée où il m'invita à m'asseoir dans son canapé. Pour me mettre dans l'ambiance, un film X amateur montrait deux jeunes garçons en train de forniquer dans un bâtiment désaffecté. J'étais désormais prévenu que mon hôte avait envie de baiser et qu'il voulait me le faire savoir. Après m'avoir servi un cocktail alcoolisé à base de rhum, Claude vient près de moi.
"_Tu aimes ce genre de film? Lui demandais-je.
_Oui, mais je préfère pratiquer plutôt que regarder.
_Tu es venu poursuivre tes études en France pour faire des rencontres ?
_Je faisais déjà des rencontres au Bénin.
_Avec des Français?
_Quelque fois, mais pas toujours. Il y a beaucoup de blancs dans mon pays.
_Beaucoup de Français pensent qu'il y a beaucoup de noirs, ici."
Claude s'amusa de ma remarque avant d'embrayer sur du concret. Il posa une main sur mon genoux et s'inclina pour m'embrasser. Je lui rendis son baiser, nos grosses lèvres s'épousant passionnément dans un désir charnel. Pour une fois, un mec avait une bouche aussi pulpeuse que la mienne. La sensation était tout simplement délectable !
Collé l'un à l'autre, je m'assis à califourchon sur lui. Tout en continuant à l'embrasser, je sentis son sexe gonflé d'envie à travers son short. Ce petit salop ne semblait pas avoir mis de slip, c'est sûr ! Je voulu vérifier par moi même en me frottant contre son entrejambe. Le renflement de son énorme teube laissait présager un sacré morceau. La réputation qui affirmait que les Blacks en avaient une très grosse ne semblait pas usurpée. En me mettant sur le côté, je déboutonnais son short en glissais ma main à l'intérieur. Son monstrueux phallus d'ébène battait dans ma paume. Je le sorti de sa cachette en le masturbant un peu avant de le goûter entre mes grosses lippes charnues. Son diamètre était si épais que je ne pouvais que lui suçoter le bout du gland comme le ferait un petit enfant avec une crème glacée trop copieuse. Confortablement installé dans son canapé, les bras le long du dossier, le jeune noir profitait pleinement du moment en poussant de petits gloussements de satisfaction.
En d'autres temps, il aurait été inconcevable qu'un jeune homme de bonne famille comme moi puisse agir de la sorte avec un autre jeune homme, noir qui plus est! Mais j'aimais ça ! et transgressais bien volontiers la bienséance en léchant cette hampe sombre et virile au goût sauvage. La mâchoire écartelée, j'allais au plus profond que je puisse aller, bavant de gourmandise. Sa longue main aux doigts effilés atterrit sur mes fesses, malaxant la chair dodue ...
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