J’ai donné rendez-vous à un « ami » avec qui j’ai échangé sur Wyylde dans un bar proche du Cube. Tu es prévenue de cette rencontre, tu en as accepté les prémisses, mais tu ne t’es engagée en rien.
Nous arrivons tous les deux vers 11h30 : je prends une coupe de champagne, lui aussi, et tu prends ton jus d’ananas habituel. Tu portes un manteau léger et tu n’as sur toi qu’une paire de bas sous ce manteau ; cela fait partie du deal. Il sait que tu es nue sous le manteau, tu sais qu’il le sait, mais il te demande si tu as respecté le défi. Nous sommes dans un coin discret du bar : il est en face de toi, je suis à côté de toi, et nous échangeons nos places. Tu ouvres alors légèrement ton manteau de façon à ce qu’il découvre le haut de tes bas. Il comprend alors que tu as osé.

Après quelques échanges, nous allons vers le Cube.

Après avoir laissé, pour nous, vestes et, pour toi, sac à main au gérant, nous allons à trois dans le cinéma du rez-de-chaussée. Il est midi, et il n’y a qu’une ou deux personnes s’occupant d’elles-mêmes… Nous regardons un peu le film porno pour nous mettre dans l’ambiance, en le commentant… en espérant qu’il ne soit pas trop nul.

Quelques tendres caresses dans ton cou pour échauffer ton esprit, je me place devant toi pour te caresser le visage et t’embrasser, mais aussi pour te tenir les mains derrière toi.
Notre complice se place derrière toi, te caresse les cheveux, puis ouvre doucement les boutons de ton manteau un par un jusqu’à la taille. Notre ami commence alors à caresser ta peau, puis tes épaules, puis tes seins que j’aime tant. Tu m’embrasses alors plus fort, et je sens ta respiration devenir un peu plus saccadée. Il revient aux derniers boutons pendant que je te caresse les seins à mon tour, puis ses mains descendent sur tes hanches, puis sur ton entrejambe : un doigt caresse ton clito et se glisse doucement en toi, te découvrant déjà toute humide.

Il t’enlève alors ton manteau doucement… Nue et en bas, perchée sur tes escarpins, tu es terriblement désirable dans ce cinéma. Viennent alors des caresses plus intimes de nous deux. Tu sais que les deux autres gars présents ont arrêté de se caresser pour te regarder. Je mets alors un masque sur tes yeux pour que tu oublies où tu es et que tu acceptes de tester tes limites.

Nous t’installons alors sur un dossier des fauteuils du deuxième rang. Je me place en face de toi pour t’embrasser et faire en sorte que tu doives ouvrir les jambes. Tu es alors vraiment exposée, impudique et offerte sans protection. Notre ami se positionne entre tes jambes et il te mange avec gourmandise… En tout cas, tu ne sais pas si c’est lui ou moi, et tu espères que ce ne soit pas l’un des présents, ce qui t’inquiète et t’excite en même temps.

Alors que je t’embrasse, alors que tu te fais manger, tu sens des mains à droite et à gauche qui te caressent les seins, qui les soulèvent, qui les « malaxent » avec gourmandise et passion, et tu devines que les deux voyeurs nous ont rejoints.
Tu penches alors la tête en arrière pour montrer que tu laisses faire.
Tu ne le vois pas, mais je recule pour te laisser entre les mains de ces trois personnes, et je te regarde, totalement livrée à la gourmandise de nos complices de jeux. Des doigts viennent en toi pour te donner du plaisir, tu n’es pas inquiète et tu t’abandonnes à la luxure. Tu sais que tu es nue dans un cinéma porno, que trois inconnus profitent de toi devant ton homme, et sous ton masque, tu profites de cet instant en t’ouvrant plus encore. Certains disent même des mots un peu grossiers, et tu sens une main qui descend dans ton dos et se glisse entre tes fesses.
Par ta position assise sur le fauteuil, tu sais que tout est accessible, et tu sens alors une langue qui te mange derrière et se glisse en toi. Tu es perdue entre le fait d’espérer que ce soit moi, et le fait de souhaiter que ce soit un autre, et que je te regarde aller très loin dans le défi.
Cette langue est alors remplacée par un doigt, et tu es prise ainsi en double sur un fauteuil de cinéma, quasiment comme une escort-girl qui donne tout car elle a été payée pour cela.

Quand tu as joui, et quand nos petits amis t’ont bien tous léchée dans le cinéma, je te descends du dossier de ce fauteuil et je t’embrasse avec tout l’amour dont je suis capable.
Mon complice du début et moi te descendons masquée au sous-sol, toujours aussi peu habillée. Nous t’enlevons le masque, puis nous descendons au sous-sol ; arrivés en bas, tu te laisses rem ...

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