J’ai entendu de la part de mon homme Louis, que chaque expérience nouvelle le conduisait immanquablement à pousser l’aventure suivante plus intensément, plus ardente que la précédente. Je vous confirme que lui réponds à cette majorité de ceux qui accompagnent et encouragent leurs bien-aimée dans une voie toujours plus transgressive et exaltée.

Comme vous savez si vous suivez mes histoires qui sont toutes vécues et réalisées, je m’appelle Marie, j’habite dans la région de Béthune, dans le Nord de la France. Je suis directrice d’une agence immobilière sur la région de Béthune et j’adore le sexe, si j’osais, je dirais que je suis « folle » de sexe. Il me faut pour mon équilibre du sexe régulièrement, j’en ai besoin pour mon bien être. Je vie maritalement depuis 10 ans avec mon homme Louis que j’aime à la folie, il me donne toutes les bonnes choses que j’ai besoin, et j’aime bien de temps en temps me faire plaisir sexuellement avec son accord lors de ses absences.

Pour une fois, mon homme Louis était dans la région pour une semaine et nous avions la chance de nous retrouver tous les soirs pour assouvir nos envies ensemble. Ce jeudi 30 octobre vers 11 heures alors que j’étais à l’agence, coup de téléphone de mon homme. Pas rare, mais étonnant.
- Coucou ma chérie, je suis à Lens si tu veux nous pouvons déjeuner ensemble.
- Oui, pas de souci mon amour, on se retrouve ou et vers quelle heure ? »
- Après le repas je repars à Béthune, donc disons le restaurant dans la zone industrielle à 12 H 30.

Je connaissais l’endroit, je passe souvent devant, mais je ne connaissais pas l’intérieur. Juste avant de raccrocher, mon homme ajoute :
« J’espère que tu es habillée sexy, j’aime que les hommes regardent ma femme avec envie »

Ce jour-là, j’étais habillée normalement comme tous les jours de travail, sexy mais pas provocante, cela aide pour les clients
Indécis, avec une jupe noire légèrement fendue sur le côté, un chemisier blanc et un boléro au-dessus. En dessous rien je ne porte jamais de sous-vêtement, des bas autoportants assez courts. De ce fait, la lisière était rapidement dépassée et rendait visible la large jarretière de dentelle sur ma jupe fendue.

Notre lieu de retrouvaille pour ce midi est dans un restaurant basique, vous savez, ces cantines de zones industrielles où l’on vous sert un plat du jour au prix d’un sandwich. Arrivant sur le petit parking, j’ai remarqué que la voiture de mon homme Louis était déjà là, donc tout va bien. J’ouvre la porte et j’entre dans l’établissement. Mon homme était déjà à table, il m’attendait. Je sais qu’il aime croiser le regard des hommes sur ma croupe coquine. Je traverse la grande salle bruyante pour le retrouver à sa table la plus reculée. Il m’a semblé tout à coup que la rumeur avait cessé, ou plutôt qu’elle avait pris un autre aspect. J’avais l’impression d’entendre des sifflements étouffés et quelques compliments à peine dissimulés. En passant entre les rangées de chaises occupées, j’ai pris du plaisir à attirer le regard un peu lourd de certains hommes.

C’est à ce moment-là précisément que j’ai su que nous étions au bon endroit pour une aventure déviante.

J’étais la seule femme dans la salle. Il y avait beaucoup d’ouvriers, de chauffeurs de camions, etc. Mon arrivée dans cet établissement n’est pas passé inaperçue. A table, mon homme tournait le dos à la majorité des clients alors que moi je les embrassais tous du regard. Il avait choisi une table haute assorties de tabourets. C’est là que nous nous sommes finalement installés pour déjeuner. Mon homme avait les miroirs sur le mur qui lui donnaient une idée précise de l’intérêt ou de la convoitise qu’on pouvait facilement déchiffrer dans le comportement des clients présents ce jour-là. Il voulait que je sente le désir des hommes sur moi et là j’étais servi, plus qu’à souhait. La conversation débuta avec mon homme après un petit baiser langoureux.
- Le restaurant c’est un hasard ou tu as une idée pour moi derrière la tête
- A toi de voir, si on peut lier plaisir de se retrouver et autre chose, pourquoi pas

Direction les entrées. Je me lève et me dirige pour me servir. Devant les présentoirs je me penche en avant, les bras tendus sur la banque circulaire des plats où l’on devait aller se servir. Les hommes proches de moi, ne se privaient pas pour reluquer son cul bien cambré et mes fesses un peu visibles. J’étais ravie de ce début de repas prometteur. De retour à table. Je croise mes jambes en se rasseyant, tabouret haut oblige, Volontairement pour provoquer un peu la salle et amuser mon homme, j’ouvre deux boutons supplémentaires se son haut si bien que sa poitrine se découvrait presque entière à chacun de ses mouvements. L’intention de mon homme était aussi de me convaincre de desserrer mes genoux. A table il me demande ce qu’il faut faire pour que je sois assez volontaire pour faire cela, et qu’il a quelques arguments en réserve pour me décider. Pas besoin d’arguments, je suis joueuse lorsque l’on parle de sexe, et à partir du moment ou lui me donne l’autorisation, je me sens libre de faire ce dont j’ai envie.

Au fur et à mesure du repas, par jeux, j’ouvrais volontairement mes jambes. Mon voisin s’est bien rincé l’œil. Ma chatte est tout épilée, et mes lèvres souriaient autant que le type assis à côté de moi. Discrètement pour faire monter le désir, Je me suis caressé l’intérieur des cuisses. Il commençait à saliver et ne quittait pas mon minou des yeux tout cela sous le regard d’in autre homme qui suivait cela aussi de près avec un petit sourire aux lèvres.

Il était presque 13 heures 30, les tables peu à peu se libèrent. En nous rapprochant du comptoir, pour régler l’addition, les têtes se tournent vers moi pour quelques consommateurs encore là. Je lance un regard conquérant, ravie par l’impact visuel que j’ai produit. Ils affichent tous des mines ahuries tant la vue d’une femme à la fois remarquable, terriblement sensuelle et improbable. Je sais que mon homme aime comme je soutiens leurs regards. Ce sont presque toujours les hommes que me défie qui se détournent. Mais un ou 2 hommes soutenaient mon regard, avec sans aucun doute l’envie de me défoncer.

Pendant que mon homme attendait son tour pour régler nos repas, je lui dis que je vais aux toilettes pour me rafraichir un peu. Forcément il a compris.

Direction des toilettes mais avec un petit appel avec mon index aux 2 hommes qui continuaient toujours à me regarder. Avant de franchir la porte battante, j’ai jeté un coup d’œil derrière moi. Seul un homme encore attablé s’était levé aussi. Il me suivait…

Afin de l’attirer facilement je suis rentrée dans les toilettes des hommes. Je me suis lavé les mains. Mon inconnu voyeur est entré. Il s’est placé derrière moi et il a sorti sa queue à travers son pantalon. Mon regard depuis le miroir devant moi se posa sur son sexe au repos, un engin monstrueux, pas moins de 20 centimètres et d’une épaisseur à faire pâlir de jalousie, n’importe quel hardeur ! Plus très jeune, je dirais qu’il attendait qu’une seule chose, me voir là pour me baiser. Soudain, il prit son gros sexe dans les mains et me demanda :
- C’est ça que vous voulez ? .

Sans me démonter, je poursuis par une réponse de bourgeoise pour faire bien :
- Vous avez un super sexe imposant qui m’aurait bien tenté si je n’étais pas marié cher monsieur .

Il rétorqua : Votre mari n’attend que cela pour toi ma petite dame, vous aller voir la différence avec ma bite, faite vous plaisir ! Il n’était pas très beau, sans doute un routier, mais j’avoue qu’un sexe de cette taille m’attirait beaucoup. Il s’est placé derrière moi. J’ai senti ses mains sur mes fesses, entre mes cuisses. Je les ai écartées pour qu’il puisse me toucher mon sexe. Je ne craignais pas qu’un autre partenaire entre et nous voie, au contraire j’espérais bien, qu’un deuxième rentre, cela ajouterait à mon plaisir. Il a introduit un doigt dans mon vagin. Je mouillais déjà comme une belle salope.

Il s'est collé dans mon dos, collant son bassin contre le mien. Nous avons ondulé en rythme de ses caresses. C'était chaud, très chaud. Ses mains étaient cramponnées à mes hanches, sa bouche explorait et j'en avais des frissons. Il bandait, je le savais car je sentais sa grosse bosse appuyée contre mes fesses. J'étais de plus en plus excitée. Il m'a retourné face à lui et discrètement, il a glissé sa main sous ma jupe et il m'a doigtée longuement jouant entre mes lèvres trempées et mon clitoris. Sa bouche essayant d’accrocher un baiser, mais cela je ne voulais pas se rapportant sur mes seins qu’il plotait et léchait avec insistance, me mordillant même les tétons qui pointaient énormément. Moi qui étais déjà très excitée depuis le début du repas, j'ai cru que j'allais devenir dingue. J'avais envie de sentir son énorme queue partout et profond. Entre nous c'était vraiment très sexuelle et je n'avais pas besoin de lui dire que j'avais envie de lui, il sentait mon corps vibrer, il pouvait sentir mon désir.

Il a retiré ses doigts de ma chatte et il m'a entrainée à l’intérieur d’un WC. Il a inspecté les lieux pour vérifier qu'il n'y avait personne et puis nous nous sommes enfermés dans une cabine. Notre envie était bestiale et nous nous sommes comportés comme des animaux. Je lui ai défait son pantalon et apr ...

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