C’était un bel été, je partageais mon temps entre les copains et ma passion, la pêche au coup.

Parti tôt le matin pour une journée de pêche dans un étang à quelques kilomètres de chez moi, je me suis installé entre deux touffes de roseaux et j’ai pratiqué cette passion, avec ce jour-là quelques jolies prises.
En début d’après-midi, un homme d’une cinquantaine d’années — du moins je suppose — s’installe à quelques mètres de moi pour pêcher également. Ses prises sont nombreuses, bien plus que les miennes, ce qui éveille ma curiosité. Je lui demande alors quel est son secret pour attraper autant de poissons.
Il m’initie à sa technique, me dévoile la composition de son amorce, une recette que j’utilise encore aujourd’hui.
En milieu d’après-midi, un orage commence à gronder. Je n’ai qu’un simple k-way pour me protéger, et j’avais déjà peu sur moi : un short nylon sur un boxer coton, et un tee-shirt à même la peau.
Évidemment, des trombes d’eau tombent sur nous. Rapidement, cet homme me propose de prendre abri dans sa voiture. Une voiture relativement vaste, surtout à l’arrière, où il me suggère de nous installer en attendant que l’orage passe.
Nous parlons de tout et de rien, de pêche, du temps, et l’orage persiste, les vitres de la voiture se couvrant de buée. Personne autour de nous.
Je suis trempé et commence à frissonner. Paul — c’est ainsi que je l’appellerai — me tend une serviette pour me sécher un peu. Je la passe sous mon tee-shirt, et il me demande de l’enlever, ce sera plus facile pour me sécher.
Je me retrouve torse nu, gêné par la situation, mais mes vêtements étant trempés, je n’ai guère le choix.
Paul me regarde, et je crois déceler une certaine envie dans ses yeux. Rapidement, il me caresse le torse et m’invite à enlever le reste pour me sécher. J’hésite, gêné de me retrouver entièrement nu entre ses mains, mais il prend les choses en main et enlève le reste de mes vêtements.
Nu à côté de lui, je ne peux contenir une érection. Il s’agenouille entre les sièges avant — qu’il avait précautionneusement avancés, je pense — et la banquette arrière, et me demande de m’allonger.
Il me dit qu’il aime mon corps, ma pilosité naissante, et me caresse délicatement. Sous ses doigts, malgré une certaine gêne, une chaleur monte en moi, me fait transpirer de bonheur ...

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