Notre première nuit fut intense, nous occupant tour à tour du plaisir de l’autre. Le seul dérangement fut le bruit incessant du sèche-cheveux qui chauffait ma chambre. Voyons le bon côté, il couvrait un peu nos cris et gémissements.
Karine ne quitta pas mon lit et nous dormîmes ensemble, repus et fatigués. Au petit matin, elle me quitta pour se doucher et se refaire une beauté, puis nous nous retrouvâmes au petit-déjeuner. Rassasiés, nous prîmes l’ascenseur pour nous préparer au départ vers la gare. Je fus surpris de la voir descendre au 3e avec moi, et elle me suivit jusqu’à ma chambre.
- J’ai oublié quelque chose, me dit-elle.
J’ouvris la porte de ma chambre et la laissai entrer. Je refermai la porte, elle s’agenouilla, défit ma braguette et sortit mon zob ramolli par cette nuit de sexe.
- Pour la route, gloussa-t-elle en me prenant dans sa bouche.
Je me laissai faire, incapable de résister à sa caresse. Elle était douée et y mettait du cœur. Au bout de quelques minutes, j’arrivai péniblement à éjaculer quelques gouttes qu’elle aspira sans frémir. Elle se releva et me roula une galoche passionnée, laissant couler un peu de mon sperme dans ma bouche. C’était la première fois que je goûtai ma semence, la sensation fut étrange. Puis elle me claqua un baiser sur les lèvres et repartit vers sa chambre en lançant : « A tout de suite ! ».
Je me lavai les dents et descendis dans l’entrée. Elle me rejoignit et nous partîmes vers la gare rejoindre nos collègues.
Ce fut le début d’une relation qui dura deux ans avant mon départ du service. Au boulot, entourés de nos collègues, nous étions très sages. Nous étions tous les deux en couple et ne voulions pas que notre relation s’ébruitât. D’autant que j’étais son chef et que l’on ne sait jamais comment cela peut tourner professionnellement. Non que je me méfiasse de Karine, elle m’avait prouvé pour le moins son affection et son attachement, mais notre chef était un connard de première et on se méfiait de lui. Par contre, nous mettions à profit chaque départ en mission commune pour nous envoyer en l’air, et je faisais tout pour que l’on choisisse les mêmes missions. L’avantage est que nous ne partions qu’à deux et qu’en plus on partait plusieurs jours. Autant dire que ces soirées passées ensemble étaient intenses sexuellement !
Karine n’était pas un canon de beauté, dans la bonne moyenne je dirais. Ce n’était pas le genre de femme sur laquelle le regard s’arrête car elle avait un visage sans trait remarquable. Mais elle avait un pouvoir érotique au-dessus de la moyenne, ce qui la rendait très attirante quand on la connaissait un peu.
Notre différence d’âge ne lui importait pas, elle aimait mon côté d’homme posé et réfléchi qui cache bien son jeu et qui se révèle très coquin au plumard. Elle, dans l’innocence de sa jeunesse, qui aimait expérimenter de nouvelles choses, je peux dire que je lui en ai fait découvrir. Je me faisais presque un devoir de la contenter dans sa découverte de sa sexualité. Son mec avait un fantasme de trio avec elle et une autre fille, mais elle avait le fantasme inverse d’elle avec deux mecs. Je me mis d’accord avec un vieux copain pour la contenter lors d’une mission dans l’Hérault en lui en faisant la surprise. Elle fut ravie de sa soirée.
J’aimais par-dessus tout la surprendre quand elle s’y attendait le moins. J’aimais cela car elle disait TRES rarement non à mes tocades. Par exemple, elle était complexée par son corps de grande gigue. Ses seins énormes à l’adolescence (elle s’était faite opérer depuis) l’avait rendu timide et craintive du regard des hommes, ce que je peux comprendre. Nous pouvons être odieux envers les femmes à forte poitrine, imaginez le choc pour une jeune femme. Je fis tout pour lui redonner la confiance qu’elle méritait car, croyez-moi, elle avait un très beau corps. 1m77 pour 60kg, jolie poitrine réduite à 90C avec ses tétons et aréoles brunes qui me plaisaient tant, des jambes fines bien galbées, de longs cheveux noirs que j’adorais prendre à pleine main quand je la sodomisais en levrette, un cul de bonne proportion, une jolie chatte : elle était bandante.
Pour lui rendre sa confiance, je l’incitais à porter plus souvent des jupes quand on partait en mission. Une fois dans les Alpes-Maritimes, nous avions fini nos tests plus tôt que prévu. Je lui proposai d’aller au casino de Monaco qu’elle ne connaissait pas. Elle approuva avec enthousiasme. Arrivé dans le parking, je lui dis d’enlever son tanga. Elle rougit mais s’exécuta. Et nous partîmes au casino. De la savoir nue sous sa jupe me donna la trique. On joua à la roulette quelques instants, puis déambulâmes dans le casino. On sortit et nous marchâmes jusqu’au port pour nous attabler pour prendre un verre. Je lui demandai de relever un peu sa jupe et d’écarter les cuisses.
... Connectez-vous pour lire la fin de cette histoire érotique | Inscription 100% gratuite
Ce site est réservé à un public MAJEUR. Il contient des images et textes à caractère sexuel qui peuvent choquer certaines sensibilités. Merci de quitter si vous êtes mineur(e).
U.S.C. 2257 Record Keeping Requirements Compliance Statement
Oui, j'ai + de 18 ans ! Non, je suis mineur