Je passai une main fouineuse sous la veste de son tailleur et frôlai ses seins. Je savais, elle nous l’avait dit un jour, qu’elle avait fait une réduction mammaire. Sa très forte poitrine d’adolescente lui occasionnait des douleurs dorsales, elle avait subi une opération à 17 ans. Mais elle avait gardé suffisamment d’atouts pour ma main joueuse. On continuait à se bécoter comme des ados, jouant de nos langues et nos lèvres tout en se caressant. Ma main pétrissait son sein et l’opération n’avait pas annihilé les sensations, sa respiration haletante indiquait clairement qu’elle y prenait plaisir. Son bassin bascula vers moi et son pubis pressa ma bite qui prenait du volume. Sa main droite qui caressait mon cou descendit apprécier ma bandaison puissante. Sa caresse subtile à travers le tissu de mon pantalon était douce et terriblement érotique. Elle alternait des frottements légers et des pressions qui me portaient vers une éjaculation précoce si elle continuait à ce rythme diabolique. Je pris sa main en la regardant dans les yeux et lui souriant, je mordillais ses doigts fins, suçant son index, léchant son majeur.
Ses yeux scintillaient de désir. Je lui enlevai sa veste de tailleur qui alla rejoindre son manteau sur le fauteuil. Mes mains glissèrent dans son dos pour dégrafer sa jupe, elle se tortilla pour l’aider à descendre le long de ses jambes interminables, tout en défaisant les boutons de ma chemise. Puis elle s’attaqua à la boucle de ma ceinture, un sourire au coin des lèvres et mon pantalon tomba.
Elle portait un adorable tanga en dentelle noire.
- Très joli, lui dis-je, il faut que je vérifie si le reste est assorti.
- Un bon point pour moi si c’est le cas ?
- Je te promets de te mettre une appréciation élogieuse sur ton entretien annuel.
Elle rit de bon cœur. Elle défit son chemisier en soie beige, et effectivement son soutien-gorge était assorti au tanga. Son adorable sourire coquin illuminait son visage.
- Tu mérites un « excellente collaboratrice », appréciai-je.
- Merci chef. Toi, ce n’est pas un boxer mais une tente canadienne, s’esclaffa-t-elle.
En effet, mon zob bandé soulevait mon boxer. J’attrapai son soutien-gorge par le sillon entre ses seins et la tirai vers moi pour un baiser passionné qu’elle me rendit. Elle chercha ma bite dans mon boxer qu’elle libéra en l’abaissant. De ma main experte, je défis son soutien-gorge pour admirer ses seins refaits. Le chirurgien avait fait un beau travail, on ne remarquait absolument rien. Elle avait de jolis tétons et aréoles brunes dont je me délectai de suite en les gobant. Ils avaient un léger goût de parfum et de transpiration mêlés, et pendant qu’elle me branlait lentement, je les léchais avec avidité. Elle renversa sa tête en arrière et cambra ses reins pour me les offrir pleinement. Je fis un quart de tour et la renversai doucement sur le lit, elle ne lâcha pas mon zob.
A genoux au bord du lit, mes lèvres parcoururent ses seins, puis descendirent sur son ventre ce qui l’obligea à lâcher mon sexe. Je léchais son ventre passionnément, jouant avec son nombril car il semblait montrer une sensibilité érogène à entendre ses gloussements. J’embrassai son pubis à travers le tissu de son tanga, passant deux doigts pour le descendre. Elle souleva ses fesses et passa deux doigts sous l’élastique de chaque côté pour m’aider. Sa toison brune était taillée en ticket de métro (une métrosexuelle !). J’avoue que cela m’émoustilla, la tarte aux poils très peu pour moi. J’embrassai délicatement son sexe, il sentait bon. Encore un bon point, je suis vite dégoûté par les odeurs fortes. Je caressai son sexe du bout du nez, et le sentis à plein poumons, m’imprégnant de ses effluves. J’embrassai ses lèvres et son clito délicatement. Levant la tête, je vis qu’elle avait fermé les yeux et se caressait les seins, les lèvres entrouvertes tout à son plaisir naissant.
Je commençais à la laper lentement, dessinant ses lèvres, titillant son clitoris, fouillant son con. Mes mains ne restaient pas inactives et avaient rejoint les siennes pour caresser ses seins. Je sentais ses tétons se gorger de plaisir. Des seins qui bandent, ça me rend fou de désir. J’accélérais ma caresse buccale de plus en plus insistante. Ma main gauche quitta son sein pour la doigter de mon majeur. Sa mouille collait à mon doigt et dessinait des filaments quand il sortait de son con. Connaissant ses goûts par ses conversations coquines, mon majeur appuya sur sa rondelle. Lentement, je l’introduisis dans son cul, centimètre par centimètre, faisant durer le plaisir et l’acceptation. Elle se tortilla, prit ma main gauche et la tira sèchement vers elle. Mon majeur fut gobé par son trou du cul en un râle puissant.
J’en profitai pour introduire mon index dans son con. Prise en ciseau par les deux doigts, je branlai lentement ses deux trous tout en léchant son clito et malaxant son sein de mon autre main, surtout son téton qui semblait très sensible et réac ...
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