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Martine suite et fin

Publié par : estak le 02/07/2025
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J’ai déjà écrit deux récits sur cette femme extraordinaire. Une blonde quadragénaire qui, après 10 ans de sevrage sexuel par son mari, avait décidé de le quitter et de se refaire une jeunesse délurée. Elle avait éveillé en moi le dominant qui s’ignorait et pendant l’année que j’avais passée avec elle, j’avais laissé libre cours à mon imagination. Ses énormes seins et sa croupe avantageuse avaient gouté de ma cravache à plusieurs reprises et nous en étions arrivés à un point où il fallait que j’innove. Elle accueillait mes suggestions avec un enthousiasme enfantin et toujours le sourire aux lèvres et des yeux émerveillés. Et elle me suçait divinement pour me remercier. De toutes les femmes que j’ai connues, elle est dans mon top 3 des meilleures suceuses : inventive, appliquée, infatigable ; et elle adorait le goût de mon sperme.
Nous avions convenu d’un nouveau rdv à 14h00 pour une séance de Ds un dimanche chez elle. Elle habitait une maison de village proche d’un terrain que je possède et j’y montais régulièrement pour l’entretenir. Un bon alibi pour ma femme ! Au rez-de-chaussée, il y avait un immense garage et un studio qu’elle louait de temps en temps ; elle s’en servait aussi d’atelier pour sa passion du scrapbooking.
Je l’appelai le vendredi précédent pour convenir du rdv. Elle me dit de me présenter à la porte du garage, ses filles seraient à l’étage et nous ne pourrions pas aller dans sa chambre.
- Tu m’appelles quand tu arrives, je viendrai t’ouvrir le rideau métallique et on ira dans le studio. Je dirai à mes filles de ne pas me déranger.
- OK, ça marche. Je voudrais que tu te prépares à m’accueillir avant.
- Ah bon ? gloussa-t-elle. Comment ?
- Bas résille, ton bustier noir pigeonnant et tes talons-aiguilles pour les habits. Que ça. Ah oui, je veux aussi que tu prépares ta chatte et ton cul.
- ….
- A 11h00, tu mettras un plug dans chaque orifice pour bien les préparer. Je veux que tu les gardes jusqu’à mon arrivée.
- Bien Monsieur. Je devrais cuisiner pour mes filles et partager leur repas comme cela ?
- Pour les habits, tu pourras les mettre avant que j’arrive. Sinon tes filles vont se poser des questions. Tu sortiras aussi tous les ustensiles que je t’ai confiés.
- Bien Monsieur. Merci Monsieur. A dimanche, j’ai hâte. Elle rit de son rire d’effrontée qui a fait une bêtise.
J’adorais quand elle passait spontanément à ce terme de « Monsieur », comprenant naturellement que les rôles et humeurs avaient changé et que le jeu avait débuté.
Dimanche, heure dite. Alibi oblige, je suis habillé comme un travailleur de la terre avec mes gros godillots, mon bleu de travail. J’arrive devant le rideau métallique, je l’appelle.
- Allo Monsieur ?
- Je suis arrivé.
- Je vous ouvre, chuchote-t-elle.
20 secondes plus tard, le rideau se lève, elle s’est mise sur le côté pour qu’on ne la voie pas. Précaution inutile -les rues de ce village sont désertes le dimanche après-midi- mais que je comprends. J’entre dans le garage et le rideau descend. Elle me fait signe de la suivre dans le studio attenant, excitée comme une puce. Je vois son gros cul tressauter et ça m’excite. Je ferme la porte du studio à double tour et me retourne.
Elle s’est adossée au mur du fond près de la fenêtre et me sourit à pleine dents. Son bustier a du mal à contenir son énorme poitrine. Je m’approche. Elle se love contre moi et me bouffe la langue. Avec ses talons-aiguilles, elle est quasiment aussi grande que mes 184 cm. Elle se gondole et me transperce de ses yeux marron chauds comme la braise. C’est l’une des seules fois de ma vie où j’ai senti le feu dans un regard. Elle prend ma main gauche et la presse sur sa rondelle. Je sens le plug violet en silicone. Puis elle écarte légèrement les cuisses et met ma main sur sa chatte. Le rosebud métallique me rafraîchit. Elle pouffe.
- J’ai été obéissante ?
- Pardon ?
- J’ai été obéissante, Monsieur ? Elle comprend de plus en plus vite, c’est un plaisir.
- Oui, je vais bien te récompenser. Garde tes chaussures et tout le reste, marche un peu devant moi.
Elle se dandine dans la pièce principale, aguicheuse et provocante. Ses rondeurs de femme obèse tressautent, elle est très désirable tellement elle respire le cul. Elle sait sublimer son corps. Après plusieurs aller et retours dans la pièce, je lui dis de s’arrêter devant le mur de la fenêtre, regard tourné vers l’extérieur et de ne plus bouger. Je suis dans son dos, elle ne me voit plus. Je regarde les ustensiles sur le lit, tout y est : martinet, cravache, paddle, menottes, cordes, bâillon, masque pour les yeux, godes, et ma surprise dans mon sac à dos.
Je prends quelques ustensiles et me presse contre elle. Elle sent mon érection et pousse son cul vers mon zob.
- Arrête ça de suite.
- Pardon Monsieur.
- Aujourd’hui, tu n’as pas de volonté ni d’initiative. Je décide de tout ce que je veux te faire subir.
- Bien Monsieur. Juste ne me faites pas trop crier, mes filles sont au-dessus.
- Aucun risque.
Je prends le bâillon et le présente devant sa bouche. C’est la première fois que je l’utilise avec elle, elle a un sursaut de surprise mais ouvre bien sa bouche. Je le coince entre ses dents et l’attache avec la sangle derrière sa nuque. Au tour du masque oculaire, ça elle connait. Une fois passé, naturellement elle baisse sa tête vers la gauche. Ce simple bout de tissu l’a renvoyé dans son statut de soumise. Je trouve ce geste adorable et émouvant. Je lui dis d’écarter ses jambes, elle s’exécute docilement.
Je retourne vers le lit et lui passe les menottes, mains dans le dos. Puis une corde, que je passe par l’œillet des menottes, et par-dessus la tringle à rideau. Je tire doucement, ses bras se lèvent pour suivre le mouvement. Je ne tire pas trop car la position est douloureuse, bras ligotés et tendus en arrière. Je passe le bout entre ses cuisses pour qu’il appuie sur ses lèvres vaginales puis entre ses fesses en les écartant, nouveau tour au-dessus de la tringle et nœud d’arrêt. Je ne serre pas trop, il ne s’agit pas qu’elle arrache la tringle. Cette position l’a contrainte à se baisser un peu, accentuant sa position de soumise.
Je me retourne vers le lit et prends le martinet. Elle aime la sensation cuisante des lanières sur ses fesses. Je la caresse avec les lanières, flattant ses seins, son cou, son cul. Elle souffle bruyamment par le nez, attendant avec délice la morsure des lanières qui, elle le sait, va venir. Je commence à lui donner de petits coups légers, juste un mouvement du poignet. Elle grogne.
De la main gauche, j’attrape les lanières et vise sa fesse gauche. Je lâche les lanières d’un revers plus fort de ma main droite avec le manche, les zébrures rougeoient sur son cul d’une blancheur laiteuse. Elle se tortille et geint. Je lui donne plusieurs coups, de plus en plus cinglants. Son cul a pris une jolie teinte rouge. Je n’oublie pas l’intérieur des cuisses, endroit douloureux ; mais j’y vais moins fort, on ne fait que commencer. Je lâche le martinet et prends la badine.
Je l’écarte un peu du mur pour pouvoir accéder plus facilement à ses seins. Je les sors du bustier, ils pendent lourdement sur son thorax. Je tapote ses tétons de la badine, elle se tord et gémit. Je détache la corde puis la guide vers le lit où je l’allonge sur le dos. J’ai fait passer les menottes devant et les ligote avec la corde aux pieds de la tête de lit. Son regard est surchauffé, je vois que sa chatte mouille, le plug est tout humide. Elle a envie de sensations très fortes, elle est comme cela depuis sa rupture : envie de se sentir désirée, envie de servir pour assouvir ses pulsions de rédemption, sentir son corps vibrer après cette décennie de frustration, de le redécouvrir.
Je monte ses jambes, maintenant arquées et les écarte. Je tapote sa chatte avec ma badine, ses seins qui eux-aussi rougissent. Je prends mon sac à dos pour mes s ...

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Mots-clés : Histoire 100% vécue, Hétéro, Fellation, Sodomie, Quadra, Soumission/domination