Sacrée fêtes de l'été 2025 !
Le 21 juin 2025, je bossais dans une commune de la banlieue parisienne.
Beaucoup de stands de jeux, de nourriture et de boisson. Un concert avec pas mal de chanteurs et de groupes de musiciens.
La fête était très bien partie. Nous étions tous heureux de se retrouver collègues et habitants de la commune. L'alcool coulait lentement mais sûrement car le boulot avant tout. Arrivée 23h30, une secrétaire, Christine, me demandait de l'accompagner dans une salle pour l'aider à acheminer quelques bouteilles de champagne.
Une très belle femme de 53 ans, très coquette, toujours élégante, parfumée et très sexy.
Donc je l'accompagne avec plaisir. Arrivés dans la salle où le champagne se trouvait, la pauvre glisse et tombe sur les fesses. Sa jupe était assez courte donc, en chutant, une vue magnifique sur ses bas noirs et son string assorti. Je me précipite pour la relever avec respect bien sûr (madame, vous allez bien ? Pas de mal j'espère, ce n'est pas le moment d'aller aux urgences avec tout le beau monde qui vous attend), en souriant pour lui faire oublier sa chute. Et à ce moment-là, elle éclate de rire et elle me dit : « Vous êtes vraiment drôle, on m'avait prévenu que vous aimiez rire et faire rire vos collègues. »
Je lui réponds : « Oui, j'aime beaucoup et j'aime plein d'autres choses », en baissant la tête vers ses jambes, et je la porte pour la déposer sur une chaise.
Je lui demande si elle a une douleur aux chevilles, elle me dit non, c'est la fesse. À ce moment-là, je sens la perche tendue à moi et je lui dis : « À la cheville, j'aurais pu vous masser ou glacer la cheville, mais aux fesses, à part les fesser, je ne sais rien faire d'autre, madame, ou les caresser. »
Elle s'éclate de rire et me lâche : « Votre petite amie ne doit pas s'ennuyer avec vous. »
Je lui dis qu'elle n'est pas jalouse, c'est l'essentiel...
Elle rougit et me dit : « Je sens une douleur mine de rien », et elle glisse sa main sous sa jupe. J'étais accroupi à côté d'elle, et moi, rigolo que je suis, je lui lâche : « Oh la chance ! »
Elle me dit : « Pardon ? »
Je lui réponds : « Votre main, elle a de la chance. »
Elle rougit et me prend la main, la glisse sous sa jupe en me disant : « C'est ici que j'ai mal. »
Je lui masse délicatement la fesse en complimentant : « Votre peau est douce. Vous êtes mignon », me dit-elle, elle m'embrasse et me caresse la queue qui était déjà bien dure, elle me complimente.
Cela a duré 2 à 3 minutes. Par la suite, je lui dis qu'ils doivent avoir soif, les collègues, nous devrions retourner au concert.
« Oh oui », elle me dit, « je les avais oubliés. » Nous prenons les bouteilles, 3 cartons exactement.
En sortant de la salle, une de ses collègues arrive : on l'a échappé belle, je lui dis.
Elle me dit : « Non, c'est Camille, c'est une coquine comme moi, en plus elle me parle souvent de toi... »
Je ressens un plaisir fou à entendre ce qu'elle me dit. Je lui dis que je peux la déposer après la soirée ou la conduire aux urgences si la douleur est toujours présente.
Camille demande pourquoi aux urgences, nous lui racontons sa chute et elle est prise de fou rire.
Nous nous dirigeons vers la voiture, je les ramène à la fête. En arrivant, je lui laisse mon numéro pour la fin de soirée si elle a besoin que ...

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